El Mercado Colonial

Lot#1
Sabre tranchant (level 2)
Quantité : 2
Dégat : 3 Jet : 4
Prix (unitaire): 130 PO
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Lot #2
Hachette de destruction (level 3)
Quantité : 1
Dégat : 4 Jet : 5
Temps d'attaque close +2min
Prix (unitaire): 430 PO
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Lot #3
Ceinture de portugais (level 6)
Quantité : 1
Point de vie max +4Pv
Prix (unitaire) : 850 PO
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Lot #4
Bandeau du franc tireur de base (level 1)
Quantité : 2
Jet attaque distante +2%
Prix (unitaire): 200 PO
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Lot #5
Bandeau en cuir pirate (level 1)
Quantité : 2
Réputation Pirate +20
Prix (unitaire): 160 PO
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Lot #6
Ceinture à bourse intégrée (level 1)
Quantité : 1
Anti-vol: +2%
Prix (unitaire) : 140 PO
Contact
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Lot #7
Collier du chasseur
Quantité : 1
Jet d'attaque à distance +3
Dégâts à distance +1
Prix (unitaire) : 500 PO
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Lot #8
Le Rasoir portugais (arme de close)
Quantité : 1
Jet d'attaque: 5
Dégâts: 5
Temps d'attaque: -2min
Prix (unitaire) : 820 PO
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Lot #9
Tromblon ravageur (level 3)
Quantité : 1
Jet d'attaque: 6
Dégâts: 6
Malus close: -5
Prix (unitaire) : 325 PO
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Lot #10
Veste d'espion (level 10)
Quantité : 1
INVIOLABLE
Temps de déplacement: -2min
Réputation française: +10
Réputation anglaise: +10
Réputation espagnole: +10
Réputation hollandaise: +10
Réputation pirate: +10
Jet de vol: +4%
Anti-vol: +3%
Anti-close: +3%
Prix (unitaire) : 950 PO
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samedi 24 février 2007

The Financial Pirate : FourMoonsgate, an Avron's nigthmare



The Financial Pirate
Swimming with sharks


FourMoonsgate, an Avron's nightmare

Is this scandal the end of the french honeymoon ?


PORT-LOUIS - On s'interroge dans les chancelleries de Liberty. Quelques heures après la ferme mise en garde du gouverneur de Port-Louis, Henri d'Avron, le pillage d'Esperanza sonne comme une gifle au visage de l'Exécutif français. Malgré le démenti formel du général Le Boucanier, s'exprimant à la "hussarde" sur la "liberté de choix" de ses hommes, on a du mal à croire que le gouvernement français n'a aucune prise sur ses meilleurs soldats. Et si c'était le cas, comment expliquer que la plus grande puissance militaire de l'île soit totalement hors de contrôle ? Conjugé aux tensions internes de plus en plus vives, cet acte de pillage dénoncé par un gouvernement aux aboies n'est que le museau fumant d'un véritable serpent de mer français.


"Acte de trahison", "acte de barbarie" tels furent les mots sans détour employés par le gouverneur Avron. Des traîtres et des barbares qui font trembler la maison France. Un tel pillage, en-dehors de toute déclaration de guerre, s'apparente à un acte de piraterie pur et simple. Ce châtiment promit par Henri d'Avron aura-t-il lieu ? On peut en douter.

Le passage à l'acte du Mouvement des Quatre Lunes montre la faiblesse du pouvoir civil sur les guildes militaires et l'Etat-Major français. Déjà, alors que les condamnations pleuvent sur ce groupuscule, le Général Le Boucanier vole au secours de ses hommes, annonçant qu'il n'y aura pas de bannissement, pas de pariatisation, promettant de diligenter une enquête puis d'aviser. La messe est dite.

Il n'empêche que le scandale enfle car le gouverneur d'Avron se retrouve dans une position inextricable. S'opposera-t-il à ses officiers qui approuvent, sous cape, le geste des "voltigeurs" des 4 Lunes au risque de provoquer une levée de boucliers générale ou laissera-t-il faire, avouant du même coup la possible implication gouvernementale dans le coup de main infâmant des 4 Lunes ?


Un scandale sur fond de guerre intestine


Cet "accident" intervient au pire moment du gouvernement français. Bien qu'auréolé par la victoire facile contre l'Angleterre, la France n'a pas été capable de faire échec à la stratégie de la Confrérie de la Côte. Pire, incapable d'exploiter son succès militaire, Port-Louis s'enfonce dans une divison interne et dans une lutte d'influence et de pouvoir que se livrent les différentes guildes pour contrôler le colosse militaire de Liberty. La démission fracassante du procureur Anton n'est qu'un des nombreux avatars de cet affrontement.

Les différents gouvernements craignent la puissance militaire française qui se veut le "gendarme" des Caraïbes, mais ils craignent plus encore ce colosse aux pieds d'argile quand il commence à ressembler furieusement à un pantin désarticulé.

La division ou la démission ?

Il ne reste pas beaucoup d'alternative au gouverneur Avron. Se soumettre aux diktats des petits spadassins, des "va-t-en guerre" et des "chiens de guerre" de tout poil ou se démettre afin de clarifier la situation et de laisser le pouvoir aux véritables maîtres de Port-Louis.

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