El Mercado Colonial

El Mercado Colonial
Vender y comprar con seguridad


La Casa de La Moneda inaugure un nouveau service pour les commerçant-e-s mais aussi pour les citoyen-ne-s de Liberty. Son Mercado Colonial, un lieu où vous pourrez retrouver les armes, accessoires, bijoux, lots de spiritueux, et autres artefacts. Vous avez un objet à vendre, vous trouverez au Mercado Colonial un acheteur pour l'acquérir.

Pourquoi perdre du temps et de l'argent à courir les routes de l'île en proposant ses objets aux passants ? Ne laissez plus de place au hasard et exposez vos valeurs au Mercado Colonial ! Nous nous ferons un devoir de mettre en évidence vos produits et de faciliter la recherche des potentiels acquéreurs.

Vos biens et articles trouveront leur place sur les étalages du Mercado Colonial, ils seront mis à disposition du grand public et à travers un recueil complet de leur description et du prix que vous aurez fixé.
Le futur acheteur n'aura qu'à se référer au numéro de référence de l'objet vous appartenant afin de prendre contact avec vous.

Ces objets resteront exposés au Mercado Colonial durant un mois; après quoi, vos lots seront retirés ou maintenus à la vente sur simple demande de votre part.
Le Mercado Colonial ne perçoit aucune commission sur les futures transactions et le bénéfices des ventes vous reviendront entièrement.

La Casa de La Moneda est fière de vous faire gagner du temps et de l'argent !

Pour avoir accès au Mercado Colonial, il suffit de signer le registre des marchands (hrp: Contact) et de vous acquitter de la Franchise, vous permettant d'exposer vos articles sur le marché.
C'est aussi simple que ça !

Coût de la Franchise (par mois) : 25 PO
pour un habitant de Liberty
Coût de la Franchise
pour un membre de La Casa de La Moneda : GRATUIT

Ne laissez plus vos biens prendre la poussière au fond de vos malles.

El Mercado Colonial - Vender y comprar con seguridad

[HRP: exemples ci-dessus]

El Mercado Colonial

ARMES	PRIX	VENDEUR
Lot #1 Tromblon de précision (lvl 3) Quantité : 1 Dégat : 5 Jet : 8 Malus close : -5	478 PO	Contact
ACCESSOIRES	PRIX	VENDEUR
Lot #2 Bandeau du franc tireur de base (lvl 1) Quantité : 1 Jet d'attaque +2	175 PO	Contact
Lot #3 Veste espagnole (lvl 1) Quantité : 1 Réputation espagnole : +15	175 PO	Contact

The Financial Pirate : Next stop New Kingston ?

The Financial Pirate
Swimming with sharks




France and England
Next Stop New Kingston ?

Why "Le Boucanier" should resist a Wagnerian enter into the Office


PORT-LOUIS - "Et bien, les affaires reprennent! Anglais, vous avez fait tout ce qu'il faut pour cela, vous en paierez le prix!" s'exclama le sieur Boucanier, nouveau Général français, à l'annonce de la déclaration de guerre avec la colonie de New Kingston. Par ces mots, il inaugure une ministère de guerre que beaucoup d'observateurs politiques redoutaient. Mais la France a-t-elle les moyens de ses ambitions ?

Moins d'une semaine après son entrée en fonction, le Gouvernement du cabinet Henri d'Avron est confronté à une crise politique qui est en voie de briser l'élan réformiste qui avait entouré la campagne électoral française. Nous connaissions depuis longtemps les profondes divergences qui divisent le microcosme politique de Port-Louis, néanmoins l'émergence d'un gouvernement d'union nationale pouvait faire miroiter un apaisement. Les colombes et les faucons semblaient pouvoir cohabiter, ou du moins, neutraliser leurs forces de rupture. De même, la nomination du procureur Anton était salué par les ténors du compromis "à la française".

Deux saccages par les Frères de la Côte et un autisme de la classe franco-anglaise plus tard, la guerre vient troubler le chant en coeur de la réconciliation nationale.

En choisissant la voie des mousquets, le général Le Boucanier met Port-Louis devant le "fait accompli", pressant un gouvernement aux caisses vides à s'attaquer à un gouvernement à genoux, miné par "les Affaires".

La "Guerre des Haillons"

Les pillages de Port-Louis et de New Kingston ont mis les deux gouvernements en banqueroute virtuelle, grevant fortement leurs budgets respectifs et également les revenus de nombreux de citoyens qui se retrouvent avec comme seule alternative: celle de la rapine et du vol. La guerre qui se prépare entre l'Angleterre et la France sera la pire des guerres des haillons qui verra se battre deux armées pour les miettes que leurs auront laissé les pirates, au lieu de chercher une alliance qui aurait permit de récupérer le butin dérobé et aussi de mettre la main sur les intérêts pécuniers des multiples exactions des Frères de la Côte.

La propriété privée des uns et des autres ne signifie rien pour ceux qui déclenchent des hostilités au seul prix de la gloire. La France devrait, pour le bien du commerce de Liberty, ne pas avanacer des objectifs de guerre et résister à un assaut sans prespectives valables, sans bénéfices à la clé, afin de se tourner contre ceux qui sont réellement responsables de sa situation. Mais en aura-t-elle le courage et la force politique ?

Madame Caraïbes : Love is in the cart

Madame Caraïbes
She's so "oh la la"

PORT-LOUIS - Attention, aujourd’hui, il faut aimer…mais surtout le montrer. Mais pas n’importe comment. Les cadeaux désintéressés (donc sans attente de réciprocité), les gestes gratuits (comme un sourire ou un baiser), et les produits bon marché (ou faits soi-même) sont à bannir de cette journée de l’amour universel. It’s time to say i love you. Afin de prouver combien l’être élu de votre cœur est cher à vos yeux, il va falloir y mettre le prix.

Pour éviter de passer pour un radin sans cœur auprès de la société – seule habilitée à juger quelle personne vous êtes vraiment - il est important de soigner les apparences. Madame Caraïbes vous propose donc des astuces faciles pour briller en cette St. Valentine’s Day.

1) Respirer l’amour : Au Manoir hanté, dans votre tour assiégée ou à la Taverne, en guerre, chez le Gouverneur, irradiez votre visage d’un sourire transie, les yeux brillants perdus quelque part entre l’horizon et le ciel.
Avant de commencer une phrase, soupirez, comme si vous étiez ramené d’une rêverie mœlleuse par cette question triviale.

2) Dépenser sans compter : Mais de préférence dans des biens voyants, volumineux et ayant une longue période de conservation.
L’incontournable classique, le bouquet de roses rouges ou la bouteille de champagne, doivent être intégrés mais cela n’est plus suffisant de nos jours.

Messieurs, précipitez-vous sur le collier luxueux, la dernière pierre précieuse à la mode ou, dans un aspect plus moderne, un joli prototype portugais. Mais n’oubliez pas de vous déplacer en permanence ou à proximité de votre bouquet !
Mesdames, optez pour un superbe manteau espagnole ou une chemise de soie. Ainsi qu'une belle empaleuse. L’amour ne doit pas être traité à la légère, prouvez votre amour : dépensez.

3) Etre amoureux, c’est être libidineux : abordez le thème de la Saint-Valentin avec une pudeur et des sous-entendus exagérés afin de faire comprendre à votre interlocuteur que ses oreilles chastes pourraient être choquées par votre comportement de bête de sexe et vos pratiques sexuelles jouissives. Etre libéré, c’est moderne. N’hésitez donc plus à proposer une partie à trois, c’est frais, ludique et ça passe très bien avec une bouteille Johnnie Walker’s Exclusive Blue Label.

Vous l’avez compris, la Saint-Valentin est la journée de toutes celles et ceux qui ne savent pas dire « Je t’aime ». Mais ne vous inquiétez pas, pour tout le reste, il y a Mastercard*.

* Disponible auprès de la Casa de La Moneda (payable en 5 mensualités faciles de 29,99 po)

Pour réussir sa carrière commerciale, il faut une vision d'avenir...et le bon partenaire.

Vous cherchez une Compagnie internationale à la hauteur de vos ambitions, qui permette d'exploiter au mieux vos forces et vos compétences.
Saisissez les opportunités que vous offre La Casa de La Moneda et mettez toutes les chances de votre côté en devenant sociétaire de la Compagnie internationale de Commerce et d'Usure de Liberty.

Vous attendez beaucoup de votre Compagnie ? Nous sommes certains de pouvoir répondre à toutes vos exigences.
En tant que partenaire de votre carrière commerciale sur Liberty, nous vous offrirons l'environnement et les conditions de votre développement professionnel.

Nous sommes impatients de vous rencontrer et d'en savoir plus sur vos projets. Rejoignez la Compagnie !

La Casa de La Moneda - nous partageons des valeurs communes

The Financial Pirate : vive les marchands de canon !

The Financial Pirate
Swimming with sharks

ULUNGEN - Le nouveau gouverneur de Ulüngen, Claire "les doigts de fée", a réuni son cabinet, hier au soir, afin de mettre la dernière main à la déclaration de guerre à la colonie espagnole d'Esperanza. Celle qui fut élue à la suite de son coup d'éclat à la Tour de la Madone est désormais forcée à la surenchère afin de conserver son siège. La tentative de pillage de la capitale espagnole était le signe avant-coureur d'une rapide escalade dans les tensions entre les deux gouvernements.

"Le peuple hollandais déclare la guerre au peuple espagnol.

Je pourrais trouver de nombreuses raisons historiques à cette déclaration comme vos deux refus de nos propositions de PNA ou votre acharnement à vouloir sauver votre ridicule alliance avec l'Angleterre. Je pourrais m'exclamer que tous les Espagnols en âge de tenir une pétoire en mains sont devenus des psychopathes de la gachette. Je pourrais juste dire que je n'aime pas qu'on me traite d'hypocrite"

C'est par ces mots que la gouverneure a scellé le destin de la guerre, désormais seules les armes décideront de l'avenir de ces deux nations. Les armes et les esprits pratiques.

Laissez tomber le commerce du rhum, investissez dans les pansements.

Cette guerre promet des affrontements majeurs et sanglants entre les différents capitaines hollandais et espagnols. Nous ne serions encourager suffisamment les commerçants à investir dans les bandages en grande quantité et à les monnayer sur les divers champs de bataille de Liberty. N'hésitez pas à suivre les déplacements des troupes et visualiser rapidement l'emplacement des drapeaux, c'est là que ça va chauffer dans les barillets...et dans le porte-monnaie.

L'offre et la demande de ces articles vont très fortement fluctuer à la hausse, achetez bas et vendez haut. Un prix conseillé par notre rédaction devrait tourner autour des 30po pour les bandages mineurs et 35-40 po pour les bandages simples.

Attention à l'inflation d'après-guerre

Les hostilités devraient débuter dans moins de quatre jours depuis l'annonce unilatérale de celle que l'on surnomme "la perfide batave". Ensuite les cours des matières premières devraient être très perturbés. Sans oublier que la défaite fera peser sur le camp vaincu une inflation des prix qui handicapera gravement son économie. A moins de vendre vos produits soldés à cette occasion, nous vous conseillons de préférer un commerce avec la nation victorieuse.
En plus de recevoir un appréciable butin de guerre et de la prime habituelle des résident de la colonie, le moral sera au beau fixe: le moment idéal pour vendre des articles avec une plus grande plus value; on achète n'importe quoi et plus aisément quand on sait que l'on s'enrichie à bon compte !

La Lettre de La Moneda

"Esperanza,

Estimadas Señorias,

J'ai le grand plaisir et l'insigne honneur de vous faire part de la création de la Casa de La Moneda, sise en la capitale de la Coloñia. Voilà plusieurs années que nous espérons obtenir la patente des Cortes afin de pouvoir officialiser notre négoce, c'est chose faite.

Notre projet, si longtemps mûrit, de créer un véritable maillage entre les commerçants, les négociants, les marchands de cette riche île des Caraïbes voit enfin le jour. Les richesses naturelles et les opportunités que nous offrent Liberty sont innombrables. Le jeune pouce que nous plantons aujourd'hui dans la terre fertile et vierge de ce paradis puisse-t-il donner de beaux fruits et essaimer son nectar en maints lieux de prospérité.

La Compagnie de Commerce et d'Usure de Liberty se donne comme mission première de faire fructifier et développer le labeur des marchands, de favoriser leur industrie par un soutien d'informations sur les prix, les cotations, les échanges dans les diverses colonies, car une maîtrise des cours et des flux des marchandises est le point essentiel pour toute activité lucrative.

Mettre en relation les commerçants est une chose, mais toute ambition commerciale doit être soutenue par un capital suffisant. La Casa de La Moneda est là pour faire confiance aux esprits audacieux. Nous fournirons l'investissement en or nécessaire à la réussite de leurs projets commerciaux.

Le risque économique guette souvent le marchand, même le plus téméraire. La présence de la piraterie, des parias et des voleurs de grand chemin rend périlleuses toutes opérations commerciales. La Compagnie de Commerce et d'Usure de Liberty veut permettre à ses affiliés de bénéficier d'une sécurité de dépôt pour ses marchandises et ses biens. Mais aussi une sécurité dans ses transactions. La Casa de La Moneda tissera des rapports privilégiés avec les gouvernements qui pourront garantir la circulation de nos fonds et avec les guildes militaires pour nos transactions les plus périlleuses.

Durant les jours à venir, nous espérons mettre en place les premiers jalons de notre organisation. Les premiers commerçants à nous rejoindre bénéficieront des meilleurs conditions et la place qui revient à celles et ceux qui ont su percevoir le bon marché et sasir la bonne occasion.

La Compagnie de Commerce et d'Usure de Liberty vient de naître et espére grandir avec le commerce colonial, accompagner les commerçants tout au long de leur parcours et favoriser la paix des nations civilisées, cette paix apportée par le commerce et la libre entreprise.

Bien à vous,

Don Juan de Montalves, directeur de la Casa de La Moneda"